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(Photo: Réservoir de la SNCC de Mwene Ditu)Justin Kabasele, journaliste, travaille à la Radio Télévision Kasaï Horizon. Il est poursuivi pour diffamation et atteinte à l’honneur d’un agent de la commune de Mwene -Ditu. Pour sa part, l’Union nationale de la presse/section Mwene-Ditu parle de la parodie de justice.
Le journaliste Justin Kabasele est condamné aussi par le tribunal de grande instance au paiement de 750000 Franc congolais au titre de dommages et intérêt pour diffamation et atteinte à l’honneur d’une fonctionnaire d’un agent de la commune de Mwene-Ditu.
Selon la plaignante, le journaliste a non seulement appelé la population sur les antennes de la KHRT à hurler sur elle au cours de son émission. Mais aussi, elle l’accuse de prostitution et de mœurs légère vis-à-vis d’un chef de quartier de la ville.
De son coté, le journaliste rejette en bloc toutes ses accusations. Il affirme qu’il n’a jamais cité le nom de cette fonctionnaire dans son émission incriminée. Il s’agit, selon lui, d’un règlement de compte.
Pendant ce temps, la section de l’UNPC déplore cette condamnation. La corporation estime que le dossier est vide par manque de preuve matérielle. Le président de l’UNPC/Mwene Ditu Mukendi Tshishi déclare qu’il est incompréhensible qu’un journaliste soit arrêté sur base des rumeurs. En attendant, le journaliste a interjeté appel.
Le journaliste Justin Kabasele est condamné aussi par le tribunal de grande instance au paiement de 750000 Franc congolais au titre de dommages et intérêt pour diffamation et atteinte à l’honneur d’une fonctionnaire d’un agent de la commune de Mwene-Ditu.
Selon la plaignante, le journaliste a non seulement appelé la population sur les antennes de la KHRT à hurler sur elle au cours de son émission. Mais aussi, elle l’accuse de prostitution et de mœurs légère vis-à-vis d’un chef de quartier de la ville.
De son coté, le journaliste rejette en bloc toutes ses accusations. Il affirme qu’il n’a jamais cité le nom de cette fonctionnaire dans son émission incriminée. Il s’agit, selon lui, d’un règlement de compte.
Pendant ce temps, la section de l’UNPC déplore cette condamnation. La corporation estime que le dossier est vide par manque de preuve matérielle. Le président de l’UNPC/Mwene Ditu Mukendi Tshishi déclare qu’il est incompréhensible qu’un journaliste soit arrêté sur base des rumeurs. En attendant, le journaliste a interjeté appel.
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